"C’est pour autant que l’Autre est un sujet comme tel que le sujet, à ce moment, s’instaure et peut s’instituer lui-même comme sujet, que s’établit à ce moment ce nouveau rapport à l’Autre par quoi il a, dans cet Autre, à se faire reconnaître, non plus comme demande, non plus comme amour, mais comme sujet." (S.VI, 13/05/1959)
Sujet, Autre
Puisque c'est dans l'élément du langage, en présence de la demande, que le SUJET est introduit comme tel, il est nécessaire symétriquement que l'Autre soit posé comme un sujet auprès duquel il puisse se faire reconnaître à son tour. Reconnaissance qui est foi en la parole de l'Autre, en l'absence de tout "Autre de l'Autre", de tout signifiant dernier qui puisse garantir la véracité de cette parole.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire